top of page

FAQ ENTREPRISES

  • 2. Je ne peux pas embaucher d’alternant en Mai 2021, puis-je tout de même participer au projet Fair[e] ?"
    Oui. Les engagements sont multiples et selon les besoins et possibilités des entreprises durant les 3 ans d’expérimentation : • Co-construire le projet Fair[e], en donnant mon avis ou en venant à des ateliers de co-construction • Designer un·e ou plusieurs parrain·s marraine·s dans mon entreprise pour accompagner un·e candidat·e tout au long de son parcours • Proposer des stages et des emplois pendant la POE (Préparation Opérationnelle d’Emploi) • Accueillir des personnes en contrat d’alternance porté par un Groupement d’Employeurs (GE)* • Proposer des CDI à partir de Mai 2022 • Devenir mécène du projet Et par exemple, si vous ne pouvez pas embaucher d’alternant·e en Mai 2021, vous pourrez le faire si vous le souhaitez à la seconde (Janvier 2022) ou la troisième (Mai 2022) vague.
  • 1. Y’a-t-il une adhésion pour participer au projet Fair[e] ?
    Non, il n’y a aucune adhésion pour participer au projet FAIR[e]. Il y a seulement des coûts en cas d’alternance qui correspondent à la mise à disposition de personnel par le GE, la médiation et la gestion de la formation, le suivi du candidat, et le portage de la POEI. Ces coûts s’élèvent à 150€ ou 250€ (selon la taille de l’entreprise) pour l’adhésion + 195€ HT/mois durant le contrat d’alternance.
  • 25. Quels seront les secteurs d’activité et les entreprises qui proposeront un contrat d’alternance ?
    La prospection est en cours. Toutes les entreprises de touts secteurs d’activité intéressées par le projet. A titre d’exemple, nous avons aujourd’hui des entreprises de la logistique, du transport, de la restauration, du SAP, du bâtiment, de services …
  • 26. Comment les futurs alternants seront positionnés sur les différents contrats ?
    Ils seront positionnés en fonction des rapprochements réalisés grâce à l’outil eRHgo. Il comparera les compétences acquises des participants, les compétences à acquérir durant le contrat d’alternance et les compétences attendues par les entreprises pour aider au positionnement sur chaque contrat.
  • 10. Pour la formation de nos salariés, nous avons une filiale où nous travaillons avec un centre de formation qui accompagne dans le développement des compétences et l'amélioration des pratiques professionnelles. Pourrait-il intégrer le projet s’il le souhaite et si oui, dans quel rôle et avec quels engagements ?"
    Effectivement si votre entreprise travaille avec un centre de formation, il aura toute sa place dans FAIR[e] durant le contrat d’alternance. Nous souhaitons justement permettre aux entreprises de continuer à travailler avec leur centre de formation qui connait leurs besoins. C’est pour cela qu’il n’y a pas de centre de formation attitré dans FAIR[e]. Vous êtes libre de travailler avec le centre de formation que vous souhaitez s’il accepte de s’accorder avec les principes de FAIR[e] (portage de l’alternance par le GE, travailler en lien avec les compétences de la personne).
  • 7. Les alternant.e.s font -ils partie de mes effectif ?
    Les candidats sont employés par le Groupement d’Employeurs donc ils ne font pas partie des effectifs de l’entreprise puisqu’ils sont mis à disposition au maximum 12 mois.
  • 8. Comment cela se passe-t-il s’il y a des problèmes avec l’alternant.e ?
    Le Projet FAIR[e] est fait justement pour que les incohérences entre le poste, l’entreprise et la personne soit très limitées. En effet, nous travaillons beaucoup sur la motivation des candidats, sur leur adéquation au poste, sur leurs compétences et il y a de nombreuses mises en situation/rencontres de professionnels. Pour autant, c’est aussi un des rôles du groupement d’employeur : être un médiateur entre l’entreprise, la formation et le candidat. Il sera votre allié pour résoudre tous les aspects problématiques possibles dans l’intégration de la personne. Et l’équipe FAIR[e] sera en soutien tout au long des parcours et des contrats.
  • 5. Si nous nous engageons, nous devrons intégrer un groupement d'employeur. Dans ce cas-là, avec qui la personne aura-t-elle sa convention de stage ou son contrat d'alternance ? Le groupement d'employeur ou l'entreprise ?"
    Les stages seront intégrés durant la POEI (Préparation Opérationnelle d’Emploi Individuelle), c’est donc le Groupement d’employeurs (GE) qui s’occupera des conventions de stages, puisqu’il porte la POE. Idem pour le contrat d’alternance qui sera signé entre le candidat et le GE. L’entreprise recevra une facture correspondant au coût du contrat, éditée par le GE.
  • 9. A quoi correspondent les 195€ HT/mois ?
    Les 195€ HT/mois sont les frais de gestion versés au Groupement d’Employeurs. Ces frais correspondent aux différentes missions que le GE assure : • La médiation entre l’entreprise, l’organisme de formation et le candidat • Il porte le contrat et assume donc toute la partie administrative (signature, suivi, fiche de paie, cotisations/contributions sociales, Urssaf etc.) • Il s’engage auprès du Pôle Emploi et porte les conventions de Préparation Opérationnelle à l’Emploi (POE) en amont du contrat d’alternance • Il accompagne le candidat pour sécuriser son parcours, notamment par des entretiens réguliers dès le SAS de motivation et jusqu’à trois mois dans le CDI, soit 18 mois d’accompagnement de la personne. Il dispose aussi d’aides financières si besoin pour le candidat (garde d’enfant, mobilité, logement etc.) •Il gère le volet formation en lien avec les besoins de l’entreprise.
  • 6. Pouvez-vous préciser le montage administratif ?
    Sur le contrat d’alternance, le GE s’occupe du lien avec son OPCO, donc l’OPCO EP. L’entreprise n’a aucune démarche à faire de ce côté-là. C’est l’intérêt du portage du contrat par le GE, minimiser les démarches administratives pour l’entreprise. L’entreprise versera au GE : • 195€ HT/mois, facturés en une seule fois au début du parcours, pour la gestion des contrats, le portage de la POE, la médiation avec le candidat, la gestion de la formation •Le salaire chargé chaque mois : si le candidat ouvre des droits à des aides à l’emploi, celle-ci seront déduite du salaire chargé.
  • 4. Quel est le profil professionnel des candidats ?
    Tous les profils pouvant et/ou souhaitant s’orienter vers un métier accessible au bout d’un parcours d’alternance d’un an maximum.
  • 3. Comment sont sélectionnés les candidats ?
    Les candidats dans FAIR[e] sont sélectionnés pour leur motivation et leur accord pour participer à tout le parcours FAIR[e] : SAS de motivation de 5 Jours à POEI de 12 semaines pour travailler sur le Savoir être en entreprise, leur projet professionnel et leur confiance en eux à Contrat d’alternance de 12 mois à CDI Ils doivent relever de critères dits « d’inclusion » : • Personnes bénéficiant du Revenu de Solidarité Active, • ou personne inscrite en tant que demandeur.deuse d’emploi depuis plus de 12 mois, • ou personnes de moins de 26 ans peu ou pas qualifiées, • ou personne dite « invisible » qui ne sont pas inscrits dans une structure d’accompagnement à l’emploi Il n’y a pas d’autre critère de sélection.
  • 12. A quoi sert l’outil ?
    L’outil sert à décrire les compétences acquises durant la vie professionnelle et les expériences extra-professionnelles. Il est la base de travail du projet de chaque participant durant toute la période du SAS et POEI. Il va également être utilisé pour mettre en lien les besoins en compétences des futurs employeurs avec les compétences des participants. Ainsi, l’outil CV n’est pas utilisé pour les recrutements. Lors du SAS, un accompagnement sera proposé aux publics pour compléter leur profil, l’affiner et leur permettre de visualiser les opportunités de métiers auxquels ils pourraient accéder.
  • 16. A quel stade se situe « l’affinage » puis la validation du projet professionnel du participant ?
    Tout au long du SAS et de la POE.
  • 15. Comment est évaluée la motivation des participants et par qui ?
    Ce sont les participants qui s’auto-évalueront durant le SAS à l’aide d’outils d’animation et d’ateliers innovants.
  • 13. Comment est organisé le projet Fair[e]?
    Le projet débute par un SAS de 5 jours durant lequel les participants vont tester leur motivation. Une POEI de 12 semaines débute ensuite. A la fin de cette dernière, les participants signent un contrat d’alternance de 12 mois. L’objectif final du projet pour les participants étant de signer un CDI avec une des entreprises partenaires engagées dans le projet.
  • 17. Est-ce que tous les participants accèderont à une POEI puis à un contrat d’alternance qui leur correspondra ?
    OUI. c’est l’engagement du projet Fair[e]. En revanche, le projet porte une vision différente de la construction d’un parcours. Ainsi, un bénéficiaire peut se voir proposer un contrat de professionnalisation qui ne l’attire pas, car ce contrat lui permettra de développer des compétences nécessaires pour le métier final qu’il vise (à l’issue du parcours). Un participant qui refuserait tout poste en dehors de sa recherche finale de métier ne semble ainsi, pas forcément correspondre au projet.
  • 14. Y-a-t-il une sélection à la sortie du SAS ?
    Non.
  • 18. L’aide exceptionnelle de 250 euros pourra-t-elle être mobilisée durant le SAS ? La POEI ?
    OUI. Si besoin après utilisation des aides de droit commun.
  • 8. L’inscription à Pôle Emploi est-elle obligatoire en amont du positionnement ?
    NON. Elle n’est pas obligatoire pour le positionnement. Mais elle l’est pour l’entrée dans la POEI. L’inscription au Pôle Emploi doit se faire, si possible, avant l’entrée dans le SAS et être accompagnée par le référent qui positionne la personne..
  • 10. Qu’est-ce qu’un « invisible » ?
    Il s’agit d’une personne qui n’est inscrite dans aucun dispositif, qui n’est pas bénéficiaire de l’ARE, du RSA, qui n’est pas inscrite au Pôle Emploi. Elle doit être domiciliée sur le territoire de la Métropole.
  • 3. Comment se fait l'inscription des publics dans le projet ?
    L'inscription se fait en priorité en remplissant le profil eRHgo en cliquant ici. Des réunions d'information collectives seront également programmées à partir de janvier 2021. Les positionnements se feront via un formulaire dans la rubrique référent·e·s. Elles seront mises en ligne sur le site du projet prochainement.
  • 2. Faut-il obligatoirement être référent de parcours pour orienter des bénéficiaires sur le projet ?
    Non, toute personne qui est en contact avec les publics concernés peut orienter. Le bénéficiaire peut également accéder au dispositif seul.
  • 6. Si le jeune que j’accompagne est diplômé mais bénéficiaire du RSA ou DELD, peut-il intégrer le projet Fair[e] ?"
    Oui. Sur les critères BRSA ou DELD.
  • 4. Si j‘intègre un bénéficiaire dans un dispositif d’accompagnement (RSA, IER, autre), est-ce qu’il pourra quand même être orienté dans le projet Fair[e] ?"
    OUI. Il faut que le projet corresponde au besoin du futur participant et soit pertinent dans son parcours de retour vers l’emploi durable.
  • 11. Qui sera chargé de repérer et de mobiliser le public invisible ?
    Booster d’avenir a été retenu suite à un appel à projets pour cette mission sur les communes de Lyon, Saint-Priest et Saint-Fons. Néanmoins, tout acteur local de proximité peut mobiliser son public. Par exemple, certains bailleurs sociaux ont prévu de communiquer sur le projet auprès de leurs habitants.
  • 1. Quelles communes sont concernées par le projet Fair[e] ?
    L’ensemble des communes de la Métropole de Lyon est concerné par le projet.
  • 5. Quelle est la tranche d’âge du public jeune cible ?
    Il s’agit des 18 ans / - 26 ans. Ils doivent être non ou peu diplômés (infra bac).
  • 9. Faut-il que les personnes aient un projet professionnel défini avant l'entrée dans le projet ?
    Non. Ce n’est pas obligatoire d’en avoir un. Le projet Fair[e] participe à affiner et définir le projet professionnel. Par contre, le projet Fair[e] n’est pas adapté pour une personne ayant déjà un objectif de métier. (Ex : je recherche un poste de boulanger)
  • 7. Comment seront prises en compte les personnes porteuses de handicap pour intégrer le projet ?
    Les Personnes porteuses de handicap seront intégrées dans le projet comme tous les autres participants. Si vous avez besoin de nous signaler un besoin ou une adaptation spécifique lié à une situation de handicap, n’hésitez pas à nous contacter.
  • 19. Le participant aura-t-il toujours le même référent tout au long du projet ?
    OUI. Il aura un seul référent « emploi » du Groupement d’employeurs toute la durée du projet (jusqu’au 34ème mois du CDI final)
  • 22. Qui assure le suivi social et la résolution des freins périphériques ?
    Le référent du Groupement d’employeur sera chargé de gérer les freins en lien avec le référent qui les accompagne dans le cadre des dispositifs.
  • 23. Comment l’aide exceptionnelle de 250 euros pourra-t-elle être utilisée ? Qui pourra la mobiliser ?
    Elle pourra être utilisée si aucune aide de droit commun ne peut être mobilisée et c’est le référent GE qui en aura la gestion.
  • 24. Comment les aides de droit communs peuvent-elles être mobilisées ?
    Elles sont mobilisables directement dans l’espace personnel de Pôle Emploi (ou via le référent RSA/IER) pour chaque participant. Les participants devront s’adresser à leur référent s’ils ont besoin d’être aidés dans la démarche.
  • 20. Le participant garde-t-il en parallèle son référent de parcours (s’il en a un) ?
    OUI. Si besoin et en fonction de la convention d’accompagnement.
  • 21. Y aura-t-il des points réguliers, un suivi avec le.la référent.e qui aura positionné des candidats ?"
    OUI. En fonction des conventions et des obligations des cahiers des charges. Avant l’entrée dans le SAS, ce suivi se fera via Kristell De La Fontaine (kdelafontaine@lyonmetropole-mmie.fr). A partir du SAS, ce sera directement entre le référent GE et le référent initial.
  • 2. Je ne peux pas embaucher d’alternant en Mai 2021, puis-je tout de même participer au projet Fair[e] ?"
    Oui. Les engagements sont multiples et selon les besoins et possibilités des entreprises durant les 3 ans d’expérimentation : • Co-construire le projet Fair[e], en donnant mon avis ou en venant à des ateliers de co-construction • Designer un·e ou plusieurs parrain·s marraine·s dans mon entreprise pour accompagner un·e candidat·e tout au long de son parcours • Proposer des stages et des emplois pendant la POE (Préparation Opérationnelle d’Emploi) • Accueillir des personnes en contrat d’alternance porté par un Groupement d’Employeurs (GE)* • Proposer des CDI à partir de Mai 2022 • Devenir mécène du projet Et par exemple, si vous ne pouvez pas embaucher d’alternant·e en Mai 2021, vous pourrez le faire si vous le souhaitez à la seconde (Janvier 2022) ou la troisième (Mai 2022) vague.
  • 1. Y’a-t-il une adhésion pour participer au projet Fair[e] ?
    Non, il n’y a aucune adhésion pour participer au projet FAIR[e]. Il y a seulement des coûts en cas d’alternance qui correspondent à la mise à disposition de personnel par le GE, la médiation et la gestion de la formation, le suivi du candidat, et le portage de la POEI. Ces coûts s’élèvent à 150€ ou 250€ (selon la taille de l’entreprise) pour l’adhésion + 195€ HT/mois durant le contrat d’alternance.
  • 25. Quels seront les secteurs d’activité et les entreprises qui proposeront un contrat d’alternance ?
    La prospection est en cours. Toutes les entreprises de touts secteurs d’activité intéressées par le projet. A titre d’exemple, nous avons aujourd’hui des entreprises de la logistique, du transport, de la restauration, du SAP, du bâtiment, de services …
  • 26. Comment les futurs alternants seront positionnés sur les différents contrats ?
    Ils seront positionnés en fonction des rapprochements réalisés grâce à l’outil eRHgo. Il comparera les compétences acquises des participants, les compétences à acquérir durant le contrat d’alternance et les compétences attendues par les entreprises pour aider au positionnement sur chaque contrat.
  • 10. Pour la formation de nos salariés, nous avons une filiale où nous travaillons avec un centre de formation qui accompagne dans le développement des compétences et l'amélioration des pratiques professionnelles. Pourrait-il intégrer le projet s’il le souhaite et si oui, dans quel rôle et avec quels engagements ?"
    Effectivement si votre entreprise travaille avec un centre de formation, il aura toute sa place dans FAIR[e] durant le contrat d’alternance. Nous souhaitons justement permettre aux entreprises de continuer à travailler avec leur centre de formation qui connait leurs besoins. C’est pour cela qu’il n’y a pas de centre de formation attitré dans FAIR[e]. Vous êtes libre de travailler avec le centre de formation que vous souhaitez s’il accepte de s’accorder avec les principes de FAIR[e] (portage de l’alternance par le GE, travailler en lien avec les compétences de la personne).
  • 7. Les alternant.e.s font -ils partie de mes effectif ?
    Les candidats sont employés par le Groupement d’Employeurs donc ils ne font pas partie des effectifs de l’entreprise puisqu’ils sont mis à disposition au maximum 12 mois.
  • 8. Comment cela se passe-t-il s’il y a des problèmes avec l’alternant.e ?
    Le Projet FAIR[e] est fait justement pour que les incohérences entre le poste, l’entreprise et la personne soit très limitées. En effet, nous travaillons beaucoup sur la motivation des candidats, sur leur adéquation au poste, sur leurs compétences et il y a de nombreuses mises en situation/rencontres de professionnels. Pour autant, c’est aussi un des rôles du groupement d’employeur : être un médiateur entre l’entreprise, la formation et le candidat. Il sera votre allié pour résoudre tous les aspects problématiques possibles dans l’intégration de la personne. Et l’équipe FAIR[e] sera en soutien tout au long des parcours et des contrats.
  • 5. Si nous nous engageons, nous devrons intégrer un groupement d'employeur. Dans ce cas-là, avec qui la personne aura-t-elle sa convention de stage ou son contrat d'alternance ? Le groupement d'employeur ou l'entreprise ?"
    Les stages seront intégrés durant la POEI (Préparation Opérationnelle d’Emploi Individuelle), c’est donc le Groupement d’employeurs (GE) qui s’occupera des conventions de stages, puisqu’il porte la POE. Idem pour le contrat d’alternance qui sera signé entre le candidat et le GE. L’entreprise recevra une facture correspondant au coût du contrat, éditée par le GE.
  • 9. A quoi correspondent les 195€ HT/mois ?
    Les 195€ HT/mois sont les frais de gestion versés au Groupement d’Employeurs. Ces frais correspondent aux différentes missions que le GE assure : • La médiation entre l’entreprise, l’organisme de formation et le candidat • Il porte le contrat et assume donc toute la partie administrative (signature, suivi, fiche de paie, cotisations/contributions sociales, Urssaf etc.) • Il s’engage auprès du Pôle Emploi et porte les conventions de Préparation Opérationnelle à l’Emploi (POE) en amont du contrat d’alternance • Il accompagne le candidat pour sécuriser son parcours, notamment par des entretiens réguliers dès le SAS de motivation et jusqu’à trois mois dans le CDI, soit 18 mois d’accompagnement de la personne. Il dispose aussi d’aides financières si besoin pour le candidat (garde d’enfant, mobilité, logement etc.) •Il gère le volet formation en lien avec les besoins de l’entreprise.
  • 6. Pouvez-vous préciser le montage administratif ?
    Sur le contrat d’alternance, le GE s’occupe du lien avec son OPCO, donc l’OPCO EP. L’entreprise n’a aucune démarche à faire de ce côté-là. C’est l’intérêt du portage du contrat par le GE, minimiser les démarches administratives pour l’entreprise. L’entreprise versera au GE : • 195€ HT/mois, facturés en une seule fois au début du parcours, pour la gestion des contrats, le portage de la POE, la médiation avec le candidat, la gestion de la formation •Le salaire chargé chaque mois : si le candidat ouvre des droits à des aides à l’emploi, celle-ci seront déduite du salaire chargé.
  • 4. Quel est le profil professionnel des candidats ?
    Tous les profils pouvant et/ou souhaitant s’orienter vers un métier accessible au bout d’un parcours d’alternance d’un an maximum.
  • 3. Comment sont sélectionnés les candidats ?
    Les candidats dans FAIR[e] sont sélectionnés pour leur motivation et leur accord pour participer à tout le parcours FAIR[e] : SAS de motivation de 5 Jours à POEI de 12 semaines pour travailler sur le Savoir être en entreprise, leur projet professionnel et leur confiance en eux à Contrat d’alternance de 12 mois à CDI Ils doivent relever de critères dits « d’inclusion » : • Personnes bénéficiant du Revenu de Solidarité Active, • ou personne inscrite en tant que demandeur.deuse d’emploi depuis plus de 12 mois, • ou personnes de moins de 26 ans peu ou pas qualifiées, • ou personne dite « invisible » qui ne sont pas inscrits dans une structure d’accompagnement à l’emploi Il n’y a pas d’autre critère de sélection.
  • 12. A quoi sert l’outil ?
    L’outil sert à décrire les compétences acquises durant la vie professionnelle et les expériences extra-professionnelles. Il est la base de travail du projet de chaque participant durant toute la période du SAS et POEI. Il va également être utilisé pour mettre en lien les besoins en compétences des futurs employeurs avec les compétences des participants. Ainsi, l’outil CV n’est pas utilisé pour les recrutements. Lors du SAS, un accompagnement sera proposé aux publics pour compléter leur profil, l’affiner et leur permettre de visualiser les opportunités de métiers auxquels ils pourraient accéder.
  • 16. A quel stade se situe « l’affinage » puis la validation du projet professionnel du participant ?
    Tout au long du SAS et de la POE.
  • 15. Comment est évaluée la motivation des participants et par qui ?
    Ce sont les participants qui s’auto-évalueront durant le SAS à l’aide d’outils d’animation et d’ateliers innovants.
  • 13. Comment est organisé le projet Fair[e]?
    Le projet débute par un SAS de 5 jours durant lequel les participants vont tester leur motivation. Une POEI de 12 semaines débute ensuite. A la fin de cette dernière, les participants signent un contrat d’alternance de 12 mois. L’objectif final du projet pour les participants étant de signer un CDI avec une des entreprises partenaires engagées dans le projet.
  • 17. Est-ce que tous les participants accèderont à une POEI puis à un contrat d’alternance qui leur correspondra ?
    OUI. c’est l’engagement du projet Fair[e]. En revanche, le projet porte une vision différente de la construction d’un parcours. Ainsi, un bénéficiaire peut se voir proposer un contrat de professionnalisation qui ne l’attire pas, car ce contrat lui permettra de développer des compétences nécessaires pour le métier final qu’il vise (à l’issue du parcours). Un participant qui refuserait tout poste en dehors de sa recherche finale de métier ne semble ainsi, pas forcément correspondre au projet.
  • 14. Y-a-t-il une sélection à la sortie du SAS ?
    Non.
  • 18. L’aide exceptionnelle de 250 euros pourra-t-elle être mobilisée durant le SAS ? La POEI ?
    OUI. Si besoin après utilisation des aides de droit commun.
  • 8. L’inscription à Pôle Emploi est-elle obligatoire en amont du positionnement ?
    NON. Elle n’est pas obligatoire pour le positionnement. Mais elle l’est pour l’entrée dans la POEI. L’inscription au Pôle Emploi doit se faire, si possible, avant l’entrée dans le SAS et être accompagnée par le référent qui positionne la personne..
  • 10. Qu’est-ce qu’un « invisible » ?
    Il s’agit d’une personne qui n’est inscrite dans aucun dispositif, qui n’est pas bénéficiaire de l’ARE, du RSA, qui n’est pas inscrite au Pôle Emploi. Elle doit être domiciliée sur le territoire de la Métropole.
  • 3. Comment se fait l'inscription des publics dans le projet ?
    L'inscription se fait en priorité en remplissant le profil eRHgo en cliquant ici. Des réunions d'information collectives seront également programmées à partir de janvier 2021. Les positionnements se feront via un formulaire dans la rubrique référent·e·s. Elles seront mises en ligne sur le site du projet prochainement.
  • 2. Faut-il obligatoirement être référent de parcours pour orienter des bénéficiaires sur le projet ?
    Non, toute personne qui est en contact avec les publics concernés peut orienter. Le bénéficiaire peut également accéder au dispositif seul.
  • 6. Si le jeune que j’accompagne est diplômé mais bénéficiaire du RSA ou DELD, peut-il intégrer le projet Fair[e] ?"
    Oui. Sur les critères BRSA ou DELD.
  • 4. Si j‘intègre un bénéficiaire dans un dispositif d’accompagnement (RSA, IER, autre), est-ce qu’il pourra quand même être orienté dans le projet Fair[e] ?"
    OUI. Il faut que le projet corresponde au besoin du futur participant et soit pertinent dans son parcours de retour vers l’emploi durable.
  • 11. Qui sera chargé de repérer et de mobiliser le public invisible ?
    Booster d’avenir a été retenu suite à un appel à projets pour cette mission sur les communes de Lyon, Saint-Priest et Saint-Fons. Néanmoins, tout acteur local de proximité peut mobiliser son public. Par exemple, certains bailleurs sociaux ont prévu de communiquer sur le projet auprès de leurs habitants.
  • 1. Quelles communes sont concernées par le projet Fair[e] ?
    L’ensemble des communes de la Métropole de Lyon est concerné par le projet.
  • 5. Quelle est la tranche d’âge du public jeune cible ?
    Il s’agit des 18 ans / - 26 ans. Ils doivent être non ou peu diplômés (infra bac).
  • 9. Faut-il que les personnes aient un projet professionnel défini avant l'entrée dans le projet ?
    Non. Ce n’est pas obligatoire d’en avoir un. Le projet Fair[e] participe à affiner et définir le projet professionnel. Par contre, le projet Fair[e] n’est pas adapté pour une personne ayant déjà un objectif de métier. (Ex : je recherche un poste de boulanger)
  • 7. Comment seront prises en compte les personnes porteuses de handicap pour intégrer le projet ?
    Les Personnes porteuses de handicap seront intégrées dans le projet comme tous les autres participants. Si vous avez besoin de nous signaler un besoin ou une adaptation spécifique lié à une situation de handicap, n’hésitez pas à nous contacter.
  • 19. Le participant aura-t-il toujours le même référent tout au long du projet ?
    OUI. Il aura un seul référent « emploi » du Groupement d’employeurs toute la durée du projet (jusqu’au 34ème mois du CDI final)
  • 22. Qui assure le suivi social et la résolution des freins périphériques ?
    Le référent du Groupement d’employeur sera chargé de gérer les freins en lien avec le référent qui les accompagne dans le cadre des dispositifs.
  • 23. Comment l’aide exceptionnelle de 250 euros pourra-t-elle être utilisée ? Qui pourra la mobiliser ?
    Elle pourra être utilisée si aucune aide de droit commun ne peut être mobilisée et c’est le référent GE qui en aura la gestion.
  • 24. Comment les aides de droit communs peuvent-elles être mobilisées ?
    Elles sont mobilisables directement dans l’espace personnel de Pôle Emploi (ou via le référent RSA/IER) pour chaque participant. Les participants devront s’adresser à leur référent s’ils ont besoin d’être aidés dans la démarche.
  • 20. Le participant garde-t-il en parallèle son référent de parcours (s’il en a un) ?
    OUI. Si besoin et en fonction de la convention d’accompagnement.
  • 21. Y aura-t-il des points réguliers, un suivi avec le.la référent.e qui aura positionné des candidats ?"
    OUI. En fonction des conventions et des obligations des cahiers des charges. Avant l’entrée dans le SAS, ce suivi se fera via Kristell De La Fontaine (kdelafontaine@lyonmetropole-mmie.fr). A partir du SAS, ce sera directement entre le référent GE et le référent initial.
  • 2. Je ne peux pas embaucher d’alternant en Mai 2021, puis-je tout de même participer au projet Fair[e] ?"
    Oui. Les engagements sont multiples et selon les besoins et possibilités des entreprises durant les 3 ans d’expérimentation : • Co-construire le projet Fair[e], en donnant mon avis ou en venant à des ateliers de co-construction • Designer un·e ou plusieurs parrain·s marraine·s dans mon entreprise pour accompagner un·e candidat·e tout au long de son parcours • Proposer des stages et des emplois pendant la POE (Préparation Opérationnelle d’Emploi) • Accueillir des personnes en contrat d’alternance porté par un Groupement d’Employeurs (GE)* • Proposer des CDI à partir de Mai 2022 • Devenir mécène du projet Et par exemple, si vous ne pouvez pas embaucher d’alternant·e en Mai 2021, vous pourrez le faire si vous le souhaitez à la seconde (Janvier 2022) ou la troisième (Mai 2022) vague.
  • 1. Y’a-t-il une adhésion pour participer au projet Fair[e] ?
    Non, il n’y a aucune adhésion pour participer au projet FAIR[e]. Il y a seulement des coûts en cas d’alternance qui correspondent à la mise à disposition de personnel par le GE, la médiation et la gestion de la formation, le suivi du candidat, et le portage de la POEI. Ces coûts s’élèvent à 150€ ou 250€ (selon la taille de l’entreprise) pour l’adhésion + 195€ HT/mois durant le contrat d’alternance.
  • 25. Quels seront les secteurs d’activité et les entreprises qui proposeront un contrat d’alternance ?
    La prospection est en cours. Toutes les entreprises de touts secteurs d’activité intéressées par le projet. A titre d’exemple, nous avons aujourd’hui des entreprises de la logistique, du transport, de la restauration, du SAP, du bâtiment, de services …
  • 26. Comment les futurs alternants seront positionnés sur les différents contrats ?
    Ils seront positionnés en fonction des rapprochements réalisés grâce à l’outil eRHgo. Il comparera les compétences acquises des participants, les compétences à acquérir durant le contrat d’alternance et les compétences attendues par les entreprises pour aider au positionnement sur chaque contrat.
  • 10. Pour la formation de nos salariés, nous avons une filiale où nous travaillons avec un centre de formation qui accompagne dans le développement des compétences et l'amélioration des pratiques professionnelles. Pourrait-il intégrer le projet s’il le souhaite et si oui, dans quel rôle et avec quels engagements ?"
    Effectivement si votre entreprise travaille avec un centre de formation, il aura toute sa place dans FAIR[e] durant le contrat d’alternance. Nous souhaitons justement permettre aux entreprises de continuer à travailler avec leur centre de formation qui connait leurs besoins. C’est pour cela qu’il n’y a pas de centre de formation attitré dans FAIR[e]. Vous êtes libre de travailler avec le centre de formation que vous souhaitez s’il accepte de s’accorder avec les principes de FAIR[e] (portage de l’alternance par le GE, travailler en lien avec les compétences de la personne).
  • 7. Les alternant.e.s font -ils partie de mes effectif ?
    Les candidats sont employés par le Groupement d’Employeurs donc ils ne font pas partie des effectifs de l’entreprise puisqu’ils sont mis à disposition au maximum 12 mois.
  • 8. Comment cela se passe-t-il s’il y a des problèmes avec l’alternant.e ?
    Le Projet FAIR[e] est fait justement pour que les incohérences entre le poste, l’entreprise et la personne soit très limitées. En effet, nous travaillons beaucoup sur la motivation des candidats, sur leur adéquation au poste, sur leurs compétences et il y a de nombreuses mises en situation/rencontres de professionnels. Pour autant, c’est aussi un des rôles du groupement d’employeur : être un médiateur entre l’entreprise, la formation et le candidat. Il sera votre allié pour résoudre tous les aspects problématiques possibles dans l’intégration de la personne. Et l’équipe FAIR[e] sera en soutien tout au long des parcours et des contrats.
  • 5. Si nous nous engageons, nous devrons intégrer un groupement d'employeur. Dans ce cas-là, avec qui la personne aura-t-elle sa convention de stage ou son contrat d'alternance ? Le groupement d'employeur ou l'entreprise ?"
    Les stages seront intégrés durant la POEI (Préparation Opérationnelle d’Emploi Individuelle), c’est donc le Groupement d’employeurs (GE) qui s’occupera des conventions de stages, puisqu’il porte la POE. Idem pour le contrat d’alternance qui sera signé entre le candidat et le GE. L’entreprise recevra une facture correspondant au coût du contrat, éditée par le GE.
  • 9. A quoi correspondent les 195€ HT/mois ?
    Les 195€ HT/mois sont les frais de gestion versés au Groupement d’Employeurs. Ces frais correspondent aux différentes missions que le GE assure : • La médiation entre l’entreprise, l’organisme de formation et le candidat • Il porte le contrat et assume donc toute la partie administrative (signature, suivi, fiche de paie, cotisations/contributions sociales, Urssaf etc.) • Il s’engage auprès du Pôle Emploi et porte les conventions de Préparation Opérationnelle à l’Emploi (POE) en amont du contrat d’alternance • Il accompagne le candidat pour sécuriser son parcours, notamment par des entretiens réguliers dès le SAS de motivation et jusqu’à trois mois dans le CDI, soit 18 mois d’accompagnement de la personne. Il dispose aussi d’aides financières si besoin pour le candidat (garde d’enfant, mobilité, logement etc.) •Il gère le volet formation en lien avec les besoins de l’entreprise.
  • 6. Pouvez-vous préciser le montage administratif ?
    Sur le contrat d’alternance, le GE s’occupe du lien avec son OPCO, donc l’OPCO EP. L’entreprise n’a aucune démarche à faire de ce côté-là. C’est l’intérêt du portage du contrat par le GE, minimiser les démarches administratives pour l’entreprise. L’entreprise versera au GE : • 195€ HT/mois, facturés en une seule fois au début du parcours, pour la gestion des contrats, le portage de la POE, la médiation avec le candidat, la gestion de la formation •Le salaire chargé chaque mois : si le candidat ouvre des droits à des aides à l’emploi, celle-ci seront déduite du salaire chargé.
  • 4. Quel est le profil professionnel des candidats ?
    Tous les profils pouvant et/ou souhaitant s’orienter vers un métier accessible au bout d’un parcours d’alternance d’un an maximum.
  • 3. Comment sont sélectionnés les candidats ?
    Les candidats dans FAIR[e] sont sélectionnés pour leur motivation et leur accord pour participer à tout le parcours FAIR[e] : SAS de motivation de 5 Jours à POEI de 12 semaines pour travailler sur le Savoir être en entreprise, leur projet professionnel et leur confiance en eux à Contrat d’alternance de 12 mois à CDI Ils doivent relever de critères dits « d’inclusion » : • Personnes bénéficiant du Revenu de Solidarité Active, • ou personne inscrite en tant que demandeur.deuse d’emploi depuis plus de 12 mois, • ou personnes de moins de 26 ans peu ou pas qualifiées, • ou personne dite « invisible » qui ne sont pas inscrits dans une structure d’accompagnement à l’emploi Il n’y a pas d’autre critère de sélection.
  • 12. A quoi sert l’outil ?
    L’outil sert à décrire les compétences acquises durant la vie professionnelle et les expériences extra-professionnelles. Il est la base de travail du projet de chaque participant durant toute la période du SAS et POEI. Il va également être utilisé pour mettre en lien les besoins en compétences des futurs employeurs avec les compétences des participants. Ainsi, l’outil CV n’est pas utilisé pour les recrutements. Lors du SAS, un accompagnement sera proposé aux publics pour compléter leur profil, l’affiner et leur permettre de visualiser les opportunités de métiers auxquels ils pourraient accéder.
  • 16. A quel stade se situe « l’affinage » puis la validation du projet professionnel du participant ?
    Tout au long du SAS et de la POE.
  • 15. Comment est évaluée la motivation des participants et par qui ?
    Ce sont les participants qui s’auto-évalueront durant le SAS à l’aide d’outils d’animation et d’ateliers innovants.
  • 13. Comment est organisé le projet Fair[e]?
    Le projet débute par un SAS de 5 jours durant lequel les participants vont tester leur motivation. Une POEI de 12 semaines débute ensuite. A la fin de cette dernière, les participants signent un contrat d’alternance de 12 mois. L’objectif final du projet pour les participants étant de signer un CDI avec une des entreprises partenaires engagées dans le projet.
  • 17. Est-ce que tous les participants accèderont à une POEI puis à un contrat d’alternance qui leur correspondra ?
    OUI. c’est l’engagement du projet Fair[e]. En revanche, le projet porte une vision différente de la construction d’un parcours. Ainsi, un bénéficiaire peut se voir proposer un contrat de professionnalisation qui ne l’attire pas, car ce contrat lui permettra de développer des compétences nécessaires pour le métier final qu’il vise (à l’issue du parcours). Un participant qui refuserait tout poste en dehors de sa recherche finale de métier ne semble ainsi, pas forcément correspondre au projet.
  • 14. Y-a-t-il une sélection à la sortie du SAS ?
    Non.
  • 18. L’aide exceptionnelle de 250 euros pourra-t-elle être mobilisée durant le SAS ? La POEI ?
    OUI. Si besoin après utilisation des aides de droit commun.
  • 8. L’inscription à Pôle Emploi est-elle obligatoire en amont du positionnement ?
    NON. Elle n’est pas obligatoire pour le positionnement. Mais elle l’est pour l’entrée dans la POEI. L’inscription au Pôle Emploi doit se faire, si possible, avant l’entrée dans le SAS et être accompagnée par le référent qui positionne la personne..
  • 10. Qu’est-ce qu’un « invisible » ?
    Il s’agit d’une personne qui n’est inscrite dans aucun dispositif, qui n’est pas bénéficiaire de l’ARE, du RSA, qui n’est pas inscrite au Pôle Emploi. Elle doit être domiciliée sur le territoire de la Métropole.
  • 3. Comment se fait l'inscription des publics dans le projet ?
    L'inscription se fait en priorité en remplissant le profil eRHgo en cliquant ici. Des réunions d'information collectives seront également programmées à partir de janvier 2021. Les positionnements se feront via un formulaire dans la rubrique référent·e·s. Elles seront mises en ligne sur le site du projet prochainement.
  • 2. Faut-il obligatoirement être référent de parcours pour orienter des bénéficiaires sur le projet ?
    Non, toute personne qui est en contact avec les publics concernés peut orienter. Le bénéficiaire peut également accéder au dispositif seul.
  • 6. Si le jeune que j’accompagne est diplômé mais bénéficiaire du RSA ou DELD, peut-il intégrer le projet Fair[e] ?"
    Oui. Sur les critères BRSA ou DELD.
  • 4. Si j‘intègre un bénéficiaire dans un dispositif d’accompagnement (RSA, IER, autre), est-ce qu’il pourra quand même être orienté dans le projet Fair[e] ?"
    OUI. Il faut que le projet corresponde au besoin du futur participant et soit pertinent dans son parcours de retour vers l’emploi durable.
  • 11. Qui sera chargé de repérer et de mobiliser le public invisible ?
    Booster d’avenir a été retenu suite à un appel à projets pour cette mission sur les communes de Lyon, Saint-Priest et Saint-Fons. Néanmoins, tout acteur local de proximité peut mobiliser son public. Par exemple, certains bailleurs sociaux ont prévu de communiquer sur le projet auprès de leurs habitants.
  • 1. Quelles communes sont concernées par le projet Fair[e] ?
    L’ensemble des communes de la Métropole de Lyon est concerné par le projet.
  • 5. Quelle est la tranche d’âge du public jeune cible ?
    Il s’agit des 18 ans / - 26 ans. Ils doivent être non ou peu diplômés (infra bac).
  • 9. Faut-il que les personnes aient un projet professionnel défini avant l'entrée dans le projet ?
    Non. Ce n’est pas obligatoire d’en avoir un. Le projet Fair[e] participe à affiner et définir le projet professionnel. Par contre, le projet Fair[e] n’est pas adapté pour une personne ayant déjà un objectif de métier. (Ex : je recherche un poste de boulanger)
  • 7. Comment seront prises en compte les personnes porteuses de handicap pour intégrer le projet ?
    Les Personnes porteuses de handicap seront intégrées dans le projet comme tous les autres participants. Si vous avez besoin de nous signaler un besoin ou une adaptation spécifique lié à une situation de handicap, n’hésitez pas à nous contacter.
  • 19. Le participant aura-t-il toujours le même référent tout au long du projet ?
    OUI. Il aura un seul référent « emploi » du Groupement d’employeurs toute la durée du projet (jusqu’au 34ème mois du CDI final)
  • 22. Qui assure le suivi social et la résolution des freins périphériques ?
    Le référent du Groupement d’employeur sera chargé de gérer les freins en lien avec le référent qui les accompagne dans le cadre des dispositifs.
  • 23. Comment l’aide exceptionnelle de 250 euros pourra-t-elle être utilisée ? Qui pourra la mobiliser ?
    Elle pourra être utilisée si aucune aide de droit commun ne peut être mobilisée et c’est le référent GE qui en aura la gestion.
  • 24. Comment les aides de droit communs peuvent-elles être mobilisées ?
    Elles sont mobilisables directement dans l’espace personnel de Pôle Emploi (ou via le référent RSA/IER) pour chaque participant. Les participants devront s’adresser à leur référent s’ils ont besoin d’être aidés dans la démarche.
  • 20. Le participant garde-t-il en parallèle son référent de parcours (s’il en a un) ?
    OUI. Si besoin et en fonction de la convention d’accompagnement.
  • 21. Y aura-t-il des points réguliers, un suivi avec le.la référent.e qui aura positionné des candidats ?"
    OUI. En fonction des conventions et des obligations des cahiers des charges. Avant l’entrée dans le SAS, ce suivi se fera via Kristell De La Fontaine (kdelafontaine@lyonmetropole-mmie.fr). A partir du SAS, ce sera directement entre le référent GE et le référent initial.
bottom of page